Le site de l'Open Access en France
Créé par le consortium Couperin, ce site vous donne accès à une mine d'informations sur l'open access, que vous soyez enseignant-chercheur, étudiant ou simple lecteur.
Ouvrir la science
Selon l’Initiative de Budapest pour l’Accès Ouvert, « le libre accès à la littérature scientifique est sa mise à disposition gratuite sur l’Internet public, permettant à tout un chacun de lire, télécharger, copier, transmettre, imprimer (…), ou s’en servir à toute autre fin légale, sans barrière financière, légale ou technique autre que celles indissociables de l’accès et l’utilisation d’Internet. »
Il existe deux moyens de proposer ses publications en open access :
Les archives ouvertes
Les archives ouvertes sont des bases de données dans lesquelles sont déposées, par les chercheurs, les publications et parfois les données de la recherche scientifique, sous forme électronique et en accès libre. Généralement hébergées par un établissement (on parle alors d'archive ouverte institutionnelle), les archives ouvertes peuvent aussi être thématiques ; elles sont accessibles librement à tous, leur but est d'identifier, valoriser, promouvoir et suivre la production scientifique des chercheurs. La démarche "d’auto-archivage” est souvent désignée comme la “voie verte” (“Green OA”).
L’édition électronique ouverte
Les articles de recherche sont publiés dans des revues à comité de lecture, qui ne font pas payer les lecteurs pour accéder à leurs contenus - on évoque ce mode de publication comme la “voie dorée” (Gold OA). Le financement de ces revues est assumé en amont par les institutions qui les hébergent.
Ce guide répond à des questions concrètes que se posent les auteurs de publications scientifiques sur leurs droits. Il attire notamment l'attention sur l'importance de lire le contrat (transfert de droit) proposé par l'éditeur avant de le signer. Il a été réalisé par un groupe projet composé d'un représentant de la Direction de l'information scientifique et technique (DIST), de 3 professionnels de l'IST et de 2 chercheurs. Il a été validé par la Direction des affaires juridiques (DAJ) et le Comité d'éthique (COMETS) du CNRS.